QU’ON ME DONNE LA NUIT
" Je vis chaque jour. De foi et de courage. Et je meurs chaque nuit. Du feu de l’extase. " Novalis
→ Générique
mise en scène aline reviriaud
écriture penda diouf & aline reviriaud
avec cille lansade & gonzague van bervesseles
musique en cours
scénographie michel claude
costumes julie lardrot
lumières en cours
régie générale en cours
→ Mentions
production IDEM Collectif
co-production Tinta’mars
RECHERCHE DE PARTENAIRES EN COURS
→ Calendrier
1er-3 juillet 2021
rencontre des interprètes au Cirque Lili / ARMO compagnie Jérôme Thomas, Dijon
13-14 janvier 2021
résidence scénographie à Tinta’mars / Langres
24-28 janvier 2022
résidence d’écriture et de travail au plateau à l’ARTDAM, Longvic
14-17 mars 2022
résidence de travail au plateau à l’atheneum – centre culturel de l’Université de Bourgogne, Dijon
ouverture aux professionnels le 17 mars à 14h30
29-30 mars 2022
résidence musique à Tinta’mars / Langres
septembre / octobre 2022 (en cours)
répétitions au cirque Lili / ARMO compagnie Jérôme Thomas, Dijon
septembre / octobre 2022 (en cours)
résidences costumes & technique à Tinta’mars / Langres
automne 2023
création
Synopsis
C’est l’épopée de deux héros sans mémoire.
Un cow-boy poussiéreux et une créature détrempée.
Un face à face étrange dans une laverie automatique.
Il y déboule comme on tombe, elle hante les lieux comme on songe.
« On m’a coupé les ailes. »
« On m’a coupé la langue. »
Drôle d’endroit pour une rencontre, le cadre rêvé pour mieux questionner l’altérité, les limites, la disparition et l’infini.
C’est la dernière nuit. Le temps où la parole permet enfin d’aller vers l’autre, pour tenter de dire tout ce qui compte vraiment avant qu’il ne soit trop tard.
Où vont les bulles de savon ? Que nous disent les moineaux ? L’estomac secondaire des fourmis ? Les lueurs d’une supernova ? Et la stratégie des champignons ?
Lui réalise un rêve d’enfant. Elle peuple le temps qui reste de toute son étrangeté, quelques livres à portée de main.
Une fable métaphorique et existentielle pour faire le point, accepter avec émerveillement l’autre, la disparition, dépasser l’angoisse de la séparation et de la fin de l’anthropocène.